Un décret du Premier ministre, publié au Bulletin Officiel du 29 juillet, oblige désormais tous les fabricants de sel de table à y ajouter de l’iode.
Objectif : prévenir l’hyperthyroïdie, maladie très répandue au Maroc.
La carence en iode nous coûte 1,48% du PIB en termes de :
- perte de productivité,
- la mortalité infantile,
- la déperdition scolaire
- des légers handicaps mentaux et moteurs.