Les étudiants non donneurs mais ayant cette intention, évoquent de multiples freins.
Chez les femmes :
- crainte de faire un malaise (41,7 %),
- appréhension des aiguilles ou des piqûres (31,5 %)
- peur d'avoir mal (28,5 %).
Chez les garçons :
- le manque de temps (38,3 %),
- les horaires incompatibles avec l'emploi du temps (27,9 %).
La
"peur d'être fatigué après le don" est citée presque à égalité dans les deux sexes, par environ un étudiant sur quatre.
La même enquête identifie des arguments à même de convaincre les non-donneurs de donner :
- y aller à plusieurs avec des proches (58 %),
- habiter ou étudier à proximité du lieu de la collecte (47,4 %)
- connaître à l'avance les lieux et horaires de celle-ci (44,4 %), être davantage informé (34,2 %),
- savoir qu'un proche est soigné grâce au don du sang (23 %).
Enquête de l'établissement français du sang (EFS) en 2012, en collaboration avec l'Institut de santé publique d'épidémiologie et de développement de Bordeaux pour faire un état des lieux des attitudes et des connaissances des étudiants concernant les dons du sang
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