Les astuces des grandes marques pour ne pas augmenter les prix

Les combines se résument à :


- Tricher sur le poids des fruits légumes pré-emballés ou des barils de lessive

- Lancer des lots familiaux -qui dans notre imaginaire sont plus avantageux- mais qui sont moins avantageux que de les prendre à l'unité. Les gens se ruent sur les produits dés qu'il y a les mentions "prix choc", "format familial" ...sans trop vérifier

- Garder le même prix avec moins de matière

- Des promos alléchantes avec des quantités très limitées pour attirer les gens dans les magasins

Alors prudence

Moi personnellement ce que j'ai pu constaté. C'est la présence de produits non concernés par les promos dans les bacs réservés aux promo. Explication : sous une grande affiche (1 produit acheté = le 2ème offert), on trouve la marque de yaourt de la promo avec une multitude d'arômes. On se sert dans le bac en variant les plaisirs mais quand on regarde le ticket de caisse pas de trace de la promo. Si on a la chance de découvrir ça sur place l'explication est que la promo réservés à l’arôme vanille par exemple et puisque t'as pris une fraise t'es plus dans la promo.

Généralement les conditions de la promo sont mentionnés avec des petits caractères.

Les nouvelles pratiques :
- Changement d'emballage
- Recettes modifiées

Exemple :

- Les biscuits "Prince" de Lu qui ne pèsent plus que 300 grammes contre 330 .
 
- Jockey de Danone a aussi réduit les quantités : 850 g de fromage blanc contre un kilo ou les petits pots désormais à 90 g contre 100 g auparavant. Les barres chocolatées Mars avaient eu la même idée quelques mois plus tôt

- Les fabricants de sucre en poudre dont les emballages sont désormais des sachets plastiques de 750 g.
 
- L'huile d'olive Lesieur, longtemps conditionnée en  litre, qui s'est vue flanquer d'une petite sœur de 75 cl en 2006.

La troisième méthode est la modification de la recette. Il s'agit de remplacer des ingrédients onéreux par des matières premières moins chères ou de changer la composition pour abaisser le coût de revient. Le mensuel précise que les changements de recettes semblent être "surtout l'apanage des premiers prix ou du hard discount".

Autre exemple : Incorporer de l'air.

Une pratique utilisé par les glaciers :

Ainsi sur une barquette de 1l vous vous retrouvez avec :

- 860 g de glace pour (Haagen Dazs)
- 661 g de glace pour (Bone Maman)
- 565 g de glace pour (Picard)
- 519 g de glace pour (la laitière)
- 500 g de glace pour (Carte d'or)