Il s’agit de l’école de ski international (ESI) et de l’école de ski français (ESF).
Je reprends les grandes lignes d’un article qui date d’à peu prés un an de Capital. Il évoque les pratiques pas réglos de l’ESF envers sa consoeur.
D’un côté ESI (1800 moniteurs –habillés en bleu- présents dans 80 stations) et de l’autre ESF (18 500 moniteurs –habillés en rouge- présents dans 250 stations).
Malgré des méthodes d’enseignement moderne, l’ESI plafonne à moins de 15% de parts de marchés après 35 ans.
Les raisons, plusieurs pratiques scandaleuses de l’ESF :
Elle fait croire que c’est un organisme public, ce qui est faux (elle n’est pas la seule habilitée à faire passer des tests et à délivrer des médailles)
Elle dispose d’un réseau politique local solide : pratique pour avoir les meilleurs emplacements (alors que l’ESI se voir refuser les jardins d’enfants et les emplacements demandés).
Ce réseau s’étend au niveau national où on a fait voter des lois sur mesures
Exclusivité dans la plupart des centres de vacances et des résidences pour le dépôt des brochures
Alors que l’état quand il se rappelle de l’ESI, c’est pour la contrôler. Plusieurs inspections par an.
Alors vous prendrez lequel des deux la prochaine fois ?