Le transport des ouvrières marocaines recrutées en Espagne est assuré par l’employeur à l’aller. Elles prennent, par contre, le retour à leur charge. «Le prix du billet est retenu sur les salaires», explique-t-on à l’Anapec. Avant la traversée cependant, les ouvrières affirment avoir versé chacune 300 DH supplémentaires à l’intermédiaire qui les accompagnait 100 DH à cause de l’excédent de bagage, mais pour le reste..., personne ne sait.