Après avoir viré Berlusconi du pouvoir, l’Italie est a sa tête un technocrate : Mario Monti, qui s’est lancé tout de suite dans les réformes.
Ses atouts :
- il n’est pas élu, c’est le président italien qui l’appelé à la rescousse.
- Il n’appartient à aucun parti politique et n’est donc pas lié aux corporations par de quelconques promesses électorales
Les partis politiques sont contents qu’un expert prenne les mesures douloureuses à leur place. Ils le soutiennent donc au parlement.
La France a fait le choix contraire, un homme politique, des promesses électorales. On verra la suite avec les deux profils.
Point positif en Italie : Les réformes sont lancées
Point négatif : La colère des Italiens contre la politique d'austérité est de plus en plus manifeste. Les attaques –parfois violentes- se multiplient en Italie contre des symboles de l'austérité.
Situation de l'Italie en Mai 2012 * La dette italienne est de 1.900 milliards d’euros, ce qui représente 123 % du Produit Intérieur Brut. Par comparaison, l'Espagne est a 75% pour 900 milliards. * Son échéancier des douze prochains mois atteint…350 milliards d’euros - soit le total de la dette grecque. 150 milliards doivent être refinancés d’ici l’automne. |