L'Arcep prévoit de se concentrer sur 3 aspects :
- la transparence des offres,
- la fluidité du marché – notamment la possibilité de changer facilement d'opérateur –
- l'utilisation des numéros surtaxés.
"Nous avons noté un manque de rigueur dans l'utilisation des services à valeur ajoutée et des numéros surtaxés, y compris de la part de services publics. Nous estimons que ces pratiques sont à la limité de la légalité, en plus d'être déontologiquement contestables", juge Jean-Ludovic Silicani.
Le numéro d'appel unique du Pôle emploi, par exemple, est ainsi facturé 11 centimes d'euro l'appel, une pratique dénoncée par les associations d'usagers.