Sans que ça voit trop
L’inflation :S’il y a un chiffre qu’il faut soigner c’est celui là (d’ailler entre 2011 et 2012 l’inflation des frais bancaires n’est que de 1.2%).
La parade est simple :
- Baisse spectaculaire des prix des services peu utilisés
- Une hausse des prestations les plus courantes
Publication imposée du coût des 10 services de base :On ne touche pas cela (ou avec parcimonie) mais on ne se gêne pas sur les autres (faut il élargir cette liste à 15 ou 20 ???)
La perle des perlesC’est la trouvaille de la banque populaire Val de France : une baisse de 1 € à 0.80 €. Cette remise gracieuse a été accompagné d’une autre mesure : le nombre de retraits autorisés gratuitement chez les autres établissement passe de 4 à 3. Et regarder comment cette baisse va se traduire chez les clients :
Un client qui fait 4 retraits extérieurs passe de 0 € à 0.8 €
Un client qui fait 5 retraits extérieurs passe de 1 € à 1.6 €
Un client qui fait 6 retraits extérieurs passe de 2 € à 2.4 €
Ce n’est qu’au 8eme retraits que le coût devient le même, pour baisser à partir de la 9eme.
La mauvaise nouvelle :La Banque Postale, dernier établissement bancaire à assurer la gratuité des retraits aux distributeurs automatiques hors de son réseau de DAB ne fera plus exception. A partir du 1er septembre, les quelque 10 millions de clients de la banque disposeront de cinq retraits gratuits dans le mois auprès d'un distributeur concurrent. A partir du 6e, tout retrait sera facturé 0,65 euros par opération.
Elle ferme la marche de cette facturation initiée par la BNP Paribas qui était la première banque en France à avoir introduit, en 1996, des frais sur les retraits hors de son réseau de DAB. Aujourd'hui, toutes les banques à réseaux ont adopté le même dispositif, à savoir la gratuité jusqu'au 4e ou 5e retrait mensuel dans un DAB concurrent, au-delà duquel tout retrait devient payant.
A savoir : que le prix d’un même service peut varier du simple au quadruple. |