En 2004, un jeune homme s'était pendu à la maison d'arrêt de Metz-Queuleu. Sa famille vient d'obtenir réparation : l'Etat a été condamné pour faute par le juge administratif.
Le tribunal a souligné que la présence en prison d'alcool et de cannabis, dont avait usé le détenu avant sa mort, impliquait une carence de l'administration.