L'Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail (Afsset) a rendu, lundi 23 mars, un avis sur les particules fines dans l'air ambiant selon lequel "la réduction des émissions doit passer avant le dispositif d'information et d'alerte sur les pics".
L'expertise de l'Afsset estime qu'on "ne peut trouver de seuil de pollution au-dessous duquel il n'y aurait pas d'impact sanitaire" et que "les expositions fréquentes à des niveaux modérés de pollution ont plus d'impact sanitaire que les pics". Un "plan particules" sera inclus en avril dans le deuxième plan national santé-environnement, a annoncé le gouvernement.