Les vœux 2012 du président Sarkozy auront coûté aux Français la bagatelle de 6,5 millions d'euros, selon le Canard Enchaîné, qui a fait les comptes et en révèle le détail dans son édition du 1er février
J’adhère au principe d’aller en province avec ce que ça engendre comme surcoût. Le président est le président de tous les français.
Sauf en une année de crise où on demande à tout le monde de se serrer la ceinture, où il y aura des hausses d’impôt, une hausse de chômage (les entreprises se retiennent en période pre-electorale, le pire est à venir après le mois de Mai).
Est-ce nécessaire d’aller dire BONNE ANNEE, sachant qu’on prépare en arrière cuisine ce qui va la pourrir.