Le concept consiste à fournir des fauteuils roulants à 1.001 enfants marocains pour les aider à ne plus vivre leur handicap comme un fardeau. Ces petits, vivant dans des situations d’extrême pauvreté, étaient privés d’école et de vie sociale du fait de leur manque de moyens.
J’ai été marqué par un chiffre avancé par l’initiatrice de cette action Doha Benchekchou : 95% des promesses de dons se soldent par un renoncement.
Ce qui témoigne de la difficulté de cette tâche. Car sans soutien rien n’est possible. Et ce soutien n’est pas que financier.
Voici quelques éléments à regarder de près dans cette opération :
- Dans ce genre d’opérations, il faut s’adresser à tout le monde, parce que des soutiens qu’on n’attend pas peuvent émerger : pour cette opération un concierge n’a pas accepté de se faire payer pour distribuer les tracts et des étudiants se sont cotisés pour payer un fauteuil.
- Puisqu’il y en a qui veulent à tout prix séparer les gens et provoquer le choc des civilisations, le don le plus généreux vient d’une Une holding de santé londonienne. D’autres dons viennent de : Dubaï, Montréal, Miami, Cannes, Boston, San Francisco, Madrid…
- Pleines d’entreprise marocaines ont participé à cette opération. Des artistes, ont également soutenu cette cause, en offrant des tableaux.
- Même le fabriquant des fauteuils a revu ses prix à la baisse et a accepté d’offrir 1 an de garantie.
Bonne chance pour d’autres opérations …