L’agence va affiner son évaluation des structures de soutien disponibles auprès du gouvernement marocain. L’objectif est de mesurer la capacité du gouvernement à soutenir le secteur bancaire en cas de crise.
Bien que ces établissements ne soient pas exposés aux marchés étrangers et aux actifs «toxiques», l’agence s’attend à «un ralentissement économique, induisant probablement la détérioration de la qualité des actifs, en mettant davantage de pression sur les ratios de fonds propres déjà affaiblis».