L’entreprise s’est distingué en cette fin d’année par mauvaise gestion traduite par :
L’incapacité de gérer le trafic par 5 cm de neige
La pénurie de produits de dégivrage.
Et ce n’est pas les seuls reproches :
Chaque matin, au terminal 2E de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, d'où partent les avions long-courriers, la file des voyageurs qui tentent d'obtenir un tampon du bureau des douanes sur leurs feuilles de détaxe s'étire jusqu'à demander au moins une heure de patience.
Moi-même arrivant un jour d’un long courrier à 7h matin, je me suis dis à une telle heure je passerais comme une lettre à la poste. Et bien cause perdue. J’ai dû me coltiner une queue longue est désagréable.
Et si au moins ils compensaient par des petits gestes. J’ai assisté au guichet réservé aux européens à une maman refoulée pour refaire la queue aux guichets de tout le monde. Cette maman avait son bébé avec un passeport européen et pensait pouvoir passer avec son enfant. C’était sans compter sur la rigidité des agents qui n’ont pas hésité à renvoyer la maman et son enfant.
Avec tous ces reproches et plein d'autres, Aéroports de Paris a annoncé une hausse conséquente de ses tarifs déjà salés. Un proverbe arabe dit : "si t'as pas honte, fais ce que tu veux".