Pour comparaison : Fès en compte 65, Essaouira et Tanger en comptent une vingtaine chacune.
Des centaines d’autres maisons sous couvert de propriétés privées travaillent dans l’informel et attirent une clientèle ciblée grâce aux ventes sur Internet.
Ceux qui ne répondent pas à toutes les normes de classement ont été autorisés à exercer en tant que «maisons meublées».
En revanche, les propriétaires récalcitrants qui continuaient de travailler dans la clandestinité ont vu leurs maisons fermées par les autorités compétentes sur demande de l’association qui a fourni les preuves du non-respect par ces établissements de la réglementation en vigueur.
On aurait aimé voir cette fermeté dans d’autres domaines. Je reviendrais sur le sujet avec une face moins réjouissante de la ville